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Charlène Guillaumot lauréate du prix de thèse de l’Institut océanographique de Monaco

Charlène Guillaumot a remporté le prix de thèse 2024–2025 de l’Institut océanographique de Monaco. En partenariat avec l’Académie des sciences, ce prix récompense chaque année un(e) jeune chercheur(e), diplômé(e) d’une école doctorale française, pour ses travaux de thèse en rapport avec l’Océan

Passionnée par le monde sous-marin depuis l’enfance, Charlène a réalisé un doctorat en cotutelle entre l’Université Libre de Bruxelles et l’Université Bourgogne Europe, au laboratoire Biogéosciences, sous la codirection de Thomas Saucède. Sa thèse, soutenue en 2021, porte sur l’amélioration des méthodes numériques pour modéliser précisément la distribution et le développement d’espèces marines en Antarctique. Ses travaux de thèse ont déjà donné lieu à 17 publications scientifiques, proposant des recommandations, de nouvelles méthodologies et des évaluations écologiques face aux changements climatiques. Charlène a ensuite réalisé un post-doctorat à l’Université Bourgogne Europe sur le développement d’outils d’intelligence artificielle appliqués à l’écologie et vient d’être recrutée au CNRS, à l’OSU THETA, pour développer un pôle de services et de ressources numériques en lien avec les grandes infrastructures nationales de recherche.

Consultez le dossier de presse. À voir aussi sur Linkedin

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Charlène Guillaumot a remporté le prix de thèse 2024–2025 de l'Institut océanographique de Monaco. En partenariat avec l’Académie des sciences, ce prix récompense chaque année un(e) jeune chercheur(e), diplômé(e) d’une école doctorale française, pour ses travaux de thèse en rapport avec l’Océan

Passionnée par le monde sous-marin depuis l'enfance, Charlène a réalisé un doctorat en cotutelle entre l’Université Libre de Bruxelles et l’Université Bourgogne Europe, au laboratoire Biogéosciences, sous la codirection de Thomas Saucède. Sa thèse, soutenue en 2021, porte sur l'amélioration des méthodes numériques pour modéliser précisément la distribution et le développement d'espèces marines en Antarctique. Ses travaux de thèse ont déjà donné lieu à 17 publications scientifiques, proposant des recommandations, de nouvelles méthodologies et des évaluations écologiques face aux changements climatiques. Charlène a ensuite réalisé un post-doctorat à l'Université Bourgogne Europe sur le développement d'outils d’intelligence artificielle appliqués à l’écologie et vient d'être recrutée au CNRS, à l'OSU THETA, pour développer un pôle de services et de ressources numériques en lien avec les grandes infrastructures nationales de recherche.

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